· 

Le marcheur à genoux

Le marcheur à genoux

 

Avec une sincérité totale, mais sans aucune agressivité, Jacques Henrard tente d'arracher Dieu à ses prisons et à ses geôlier. Il développe le paradoxe d'un attachement viscéral à une Eglise dont il critique avec fermeté la sclérose, l'immobilisme fatal dans une époque qui galope.

 

Ce livre est un récit poétique destiné à ses frères et soeurs en errance, loin des chemins convenus.

Il y témoigne de son parcours de vie :

 

"Il marche dans sa maison, dans les sentiers de son jardin et de ses souvenirs. Vers où ? Vers qui ? Celui auquel on donne le nom de Dieu ? Ce Dieu qui l'a quitté sur la pointe des pieds à un tournant de sa jeunesse. On se retourne, il n'est plus là.

A l'age de la retraite, il se vide la mémoire de tout ce qu'on lui a appris à son sujet et entreprend de partir à sa recherche. Ce sera l'errance d'un sans mémoire à la rencontre d'un sans visage.

 

Livre préfacé par son ami, Gabriel Ringlet : De magnifiques pages sur la communion, cette petite chose sans défense qui ne demande qu'à se laisser manger. Et un regard sans concession sur une Eglise trop pleine au point qu'on ne sait plus y bouger le pied (...) Merci à toi, l'Ami, tu as raison : "Si riche est l'Amour qu'il peut s'inventer des métamorphoses. Il peut rester beau jusqu'à son dernier souffle." Et après

Écrire commentaire

Commentaires: 0